Num | Gc | Bat Name | ClientOld Name | Title | Page Hebdo | Status | Monetary Economy | Total | Payback | Investment | Investment Factor | Investment Real | Priority | Note | Place | Infos | Infos |
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3 | 1 | (non défini) | (non défini) | Distribution de chauffage | (non défini) | ACCEPTED | 0.00 | (non défini) | 3.83 | 273000.00 | 40.00 | 109200.00 | MEDIUM | Pompes secteurs : 15'000 Pompes échangeurs : 25'000 Pompes chaudières : 10'000 Collecteur HT : 50'000 Échangeurs : 3'000 Accessoires : 50'000 Conduites isolées : 60'000 Honoraires et divers : 60'000 Total : 273'000 | (non défini) | Créée:29.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.08.2025 | Desc:1- Le collecteur de distribution de chaleur est réparti en trois niveaux des températures : Départ vers les groupes Munitions et Ateliers en série avec les réseaux à basses températures, Retour des groupes y compris les réseaux basses températures, Retour général vers les chaudières.
2- Les 2 pompes non modulées atelier et munitions alimentent le collecteur Atelier pour les départs des secteurs Vernier et Ville, et secteur Munitions. Les 2 pompes fonctionnent en alternance, mais le by-pass sensé homogénéiser les retours du collecteur Atelier et secteur Munitions est condamné. Avec la situation actuelle, la libération d'une pompe plutôt que l'autre favorise ou défavorise le collecteur Atelier et/ou secteur Munitions. En d'autres termes, la configuration actuelle n'est pas optimale pour la gestion des températures et des débits/pressions. Les secteurs Vernier, Ville et Munitions sont équipés chacun d'un compteur de chaleur. Celui du secteur Munitions est hors service.
3- Les 2 petites pompes non modulées administration aliment le collecteur administration pour les départs Garage, Bureaux et Appartements. Une vanne à 3 voies (diviseuse) assure l'alimentation en débit variable, mais à température constante, du collecteur administration et rejette l'excès du débit de la V3V alimentée directement depuis le départ générale chaudières, vers le retour général aux chaudières. Le retour du collecteur Administration passe par les pompes et renvoyé directement vers le retour général aux chaudières. Cette manière de faire permet de détruire les énergies thermique et électrique de manière fulgurante.
4 - Le Secteur Chauffage au sol est alimenté par un circulateur et une vanne 2 voies directement depuis le départ venant des chaudières. Étant donnée que le chauffage au sol est en basse température, ce manière de faire n'est pas la plus appropriée.
5 - Le Secteur M.B. est alimenté par un circulateur à débit constant et une vanne 3 voies injection directement depuis le départ venant des chaudières. C'est-à-dire, une partie du débit est re-circulé en fonction de la température de la courbe de chauffage souhaité au départ du chauffage secteur M.B.
6- Le Secteur PPP est alimenté par un échangeur pour abaisser le niveau de température de départ venant des chaudières. Le secondaire est équipé d'un circulateur et une vanne 2 voies. En d'autres termes, le circuit secondaire qui aliment le Secteur PPP a presque une température de départ constante.
Solution:Le réseau de distribution de chaleur est obsolète. Le raccordement hydraulique n'est pas adapté à l'utilisation ou au besoin car les niveaux de température sont mélangés. De plus, pas de vraie séparation du réseau haute température à celui de basse température. De plus, les conduites sont vétustes, c'est-à-dire, à tout moment, le réseau peut tomber en raide. Voici les actions proposées pour mettre à plat cette distribution : 1 - Transformation et simplifications du schéma hydraulique (à réaliser dans le cadre d'une étude approfondie servant comme avant projet). 2 - S'équiper d'un échangeur de séparation entre la production vers le collecteur haute température. un deuxième échangeur alimente le collecteur basse température depuis le retour du collecteur haute température. Ce deuxième sera équipé d'une vanne de mélange au niveau primaire, raccordé au départ du secondaire de l'échangeur du collecteur haute température, pour garantir la température sollicitée du secondaire du secteur basse température. 3 - Remplacement des toutes les pompes / circulateurs par des pompes à débit variable et des vannes 3 voies pour tous les secteurs. Il est opportun de mettre en évidence l'autorité des vannes pour ce type de combiné pour éviter des surchauffes ou des maques de confort pour les utilisateurs. 4 - La température de départ du secondaire de chaque échangeur sera pilotée directement en fonction de la température de départ du secteur la plus élevée, ajoutée 5°C. Il est aussi possible de mettre une courbe de variation de la température de départ du secondaire en fonction de la température extérieure. 5 - La réalisation d'une étude approfondie permettra de mettre au point la solution retenue et débouchera vers une solution sur mesure pour le site. Tout en sachant que la production d'ECS, qui met en précarité le niveau de température, même ponctuellement, n'y sera plus. |
4 | 1 | (non défini) | (non défini) | Compresseurs d'air & réseau d'air comprimé | (non défini) | ACCEPTED | 0.00 | (non défini) | 6.96 | 21000.00 | 100.00 | 21000.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:29.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:14.04.2025 | Desc:Le site dispose de deux compresseurs d'air de la même marque pour assurer l'alimentation des locaux avec l'air comprimé.
Le plus grand compresseur L30RS est équipé d'un variateur de vitesse situé au rez, à côté des chaudières : Puissance él. : 30 kW, Pression d'aspiration : 1.0 bar, Pression max. d'étage : 10.0 bar, Débit d'air comprimé : 1.3 à 5.5 m³/min.
Le petit compresseur L22 est à vitesse fixe, situé au 1er étage, à côte des ballons d'ECS : Puissance él. : 22 kW, Pression d'aspiration : 1.0 bar, Pression max. d'étage : 10.0 bar, Débit d'air comprimé : 3.04 m³/min.
Le réseau est équipé des 2 réservoirs surdimensionnés d'air de 4.6 m³ et 3.0 m³
1 - Les deux compresseurs d'air fonctionnent en alternance selon un planning hebdomadaire prédéfini :
- Le grand assure l'alimentation d'AC pour les jours ouvrables du lundi à jeudi et le petit AC marche le vendredi et week-end.
- Le petit AC fait l'appoint en cas de manque de pression sur le réseau. Les consignes de pression mettent en évidence que le petit AC vient tout le temps car son seuil minimum est 7.6 bar contre 7.3 pour le grand AC.
- Les soupapes de surpression des réservoirs d'air comprimé sont dimensionnées pour s'ouvrir à 8 bars, alors que le compresseur L22 est paramétré pour fournir de l'air comprimé à 8.2 bars.
2 - Les sécheurs d'air sont branchés directement au réseau électrique, ils fonctionnent tout le temps (en non-stop).
3 - Les 85 % d'énergie électrique servant à produire l'air comprimé se transforment en chaleur, et ne sont pas récupérés. Solution: 1 - Modification des consignes de pression de réseau d'air comprimé, comme suit : - Grand AC Haute pression (HP) : 8 bar, inchangé - Grand AC Basse pression (BP) : 7.3 bar => 7.6 bar - Petit AC HP : 8.2 bar => 8 bar - Petit AC BP : 7.6 bar => 7.3 bar 2 - Asservissement des sécheurs avec les compresseurs d'air et avec temporisation d'arrêt du 5 min. 3 - Les enregistrements du profil de la consommation électrique 1/4-horaires des trois semaines pour les deux compresseurs d'air montre une bande de consommation électrique de 5kW la nuit avec des pics de 10 kW et 10kW le jour avec des pics de 14kW. C'est-à-dire, l'alimentation de la PAC de l'ECS sera soutenue par ce rejet de chaleur. 4 - Changement de l'utilisation des compresseurs : Étant donné que le grand compresseur d'air est équipé d'un variateur, contrairement au petit, son utilisation permanent est recommandée, sauf pendant les jours de non utilisation d'air comprimé (selon planning). L'installation complète est 6 fois surdimensionnée par rapport au profil du besoin d'air (selon enregistrement 1/4-horaires). Le grand compresseur d'air est alors déjà 3 fois surdimensionné. Envisager de mettre en place un petit compresseur de 5 kW avec variateur pour les nuits et le week-end, en cas de remplacement du vieux petit compresseur, tout en fermant de manière automatique les 2 grands réservoirs. |
26 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / Electricité / eau (2024) | (non défini) | COMPLETED | 0.00 | (non défini) | 8.23 | 5500.00 | 100.00 | 5500.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:31.12.2020 completed:31.12.2024 Delai:31.12.2024 | Desc:selon CDC Solution:selon CDC |
27 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / Electricité / eau (2025) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 5500.00 | 0.00 | 5500.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2025 | Desc: Solution: |
28 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / Electricité / eau (2026) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 5500.00 | 0.00 | 5500.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2026 | Desc: Solution: |
29 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / Electricité / eau (2027) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 5500.00 | 0.00 | 5500.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2027 | Desc: Solution: |
30 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / Electricité / eau (2028) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 5500.00 | 0.00 | 5500.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2028 | Desc: Solution: |
21 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / électricité / eau (2024) | (non défini) | COMPLETED | 0.00 | (non défini) | 0.12 | 4000.00 | 100.00 | 4000.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:31.12.2024 Delai:31.12.2024 | Desc:Un export des consommations mensuelles absolues d'énergies et d'eau existe mais ne permet pas une analyse détaillée faisant ressortir les potentiels d'économies et d'amélioration de l'efficacité des installations techniques. En effet, la GTC ne permet pas de faire une analyse corrélée selon des variables explicatives des consommations d'énergie et d'eau et du fonctionnement des installations techniques (uniquement une "photo" instantanée) selon l'historique et le temps d'observation ponctuel. Solution:1- Mise en place d'une gestion continue des énergies, de l'eau et du fonctionnement de l'ensemble des installations techniques permettant de maintenir, et généralement d'accentuer, les résultats d'économies au cours des années, ainsi que de vérifier l'efficacité des nouvelles dispositions impliquant des investissements. 2- Envoi hebdomadaire aux exploitants techniques de graphiques analytiquement finis (protocole hebdomadaire) et commentés avec des propositions d'améliorations par des ajustements de réglages (paramètres de régulations, horaires et niveaux de fonctionnement, consignes, etc.) 3- Mise en place, par les responsables techniques des bâtiments, des actions d’économies d’énergie et d’eau constatées au travers des protocoles hebdomadaires. Les petits investissements à Payback très court (temps de retour sur investissement) feront l’objet d’une offre différée (solution pragmatique). 4- Ébauche de solutions techniques aux problèmes de fonctionnement et de renouvellement d’installations d’infrastructures vétustes (input pour les projets en étude). |
22 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / électricité / eau (2025) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 4000.00 | 0.00 | 4000.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2025 | Desc:Un export des consommations mensuelles absolues d'énergies et d'eau existe mais ne permet pas une analyse détaillée faisant ressortir les potentiels d'économies et d'amélioration de l'efficacité des installations techniques. En effet, la GTC ne permet pas de faire une analyse corrélée selon des variables explicatives des consommations d'énergie et d'eau et du fonctionnement des installations techniques (uniquement une "photo" instantanée) selon l'historique et le temps d'observation ponctuel. Solution:1- Mise en place d'une gestion continue des énergies, de l'eau et du fonctionnement de l'ensemble des installations techniques permettant de maintenir, et généralement d'accentuer, les résultats d'économies au cours des années, ainsi que de vérifier l'efficacité des nouvelles dispositions impliquant des investissements. 2- Envoi hebdomadaire aux exploitants techniques de graphiques analytiquement finis (protocole hebdomadaire) et commentés avec des propositions d'améliorations par des ajustements de réglages (paramètres de régulations, horaires et niveaux de fonctionnement, consignes, etc.) 3- Mise en place, par les responsables techniques des bâtiments, des actions d’économies d’énergie et d’eau constatées au travers des protocoles hebdomadaires. Les petits investissements à Payback très court (temps de retour sur investissement) feront l’objet d’une offre différée (solution pragmatique). 4- Ébauche de solutions techniques aux problèmes de fonctionnement et de renouvellement d’installations d’infrastructures vétustes (input pour les projets en étude). |
23 | 1 | (non défini) | (non défini) | Optimisation chaleur / électricité / eau (2026) | (non défini) | ACCEPTED | (non défini) | (non défini) | (non défini) | 4000.00 | 0.00 | 4000.00 | MEDIUM | (non défini) | (non défini) | Créée:30.03.2021 completed:01.01.1970 Delai:31.12.2026 | Desc:Un export des consommations mensuelles absolues d'énergies et d'eau existe mais ne permet pas une analyse détaillée faisant ressortir les potentiels d'économies et d'amélioration de l'efficacité des installations techniques. En effet, la GTC ne permet pas de faire une analyse corrélée selon des variables explicatives des consommations d'énergie et d'eau et du fonctionnement des installations techniques (uniquement une "photo" instantanée) selon l'historique et le temps d'observation ponctuel. Solution:1- Mise en place d'une gestion continue des énergies, de l'eau et du fonctionnement de l'ensemble des installations techniques permettant de maintenir, et généralement d'accentuer, les résultats d'économies au cours des années, ainsi que de vérifier l'efficacité des nouvelles dispositions impliquant des investissements. 2- Envoi hebdomadaire aux exploitants techniques de graphiques analytiquement finis (protocole hebdomadaire) et commentés avec des propositions d'améliorations par des ajustements de réglages (paramètres de régulations, horaires et niveaux de fonctionnement, consignes, etc.) 3- Mise en place, par les responsables techniques des bâtiments, des actions d’économies d’énergie et d’eau constatées au travers des protocoles hebdomadaires. Les petits investissements à Payback très court (temps de retour sur investissement) feront l’objet d’une offre différée (solution pragmatique). 4- Ébauche de solutions techniques aux problèmes de fonctionnement et de renouvellement d’installations d’infrastructures vétustes (input pour les projets en étude). |